On en parle dans la presse 10-2023 : Magazine Parcours des Arts - L'art de la transmission chez les Aborigènes d'Australie

Merci au magnifique magazine "Parcours des Arts" sur l'actualité du sud Ouest de la France et de l'Espagne, et à leur rédacteur en chef Yann Le Chevalier, pour leur article sur l'exposition d'art Aborigène "Voir l'Invisible" organisée en partenariat avec le musée d'Angoulême.

Les artistes du Spinifex Art Project y sont à l'honneur en France, et comme également à Bruxelles actuellement.

En savoir plus sur le magazine "Parcours des Arts" ici :

https://editions-in-extenso.com/parcours-des-arts

On en parle dans la Libre Belgique (26 janvier 2022) : "En communion constante avec la terre-mère"

Un grand grand merci au journaliste Roger-Pierre Turine du grand quotidien La Libre Belgique, pour son bel article sur l'exposition du Spinifex art project à la galerie actuellement. C'est émouvant de lire sous sa plume et son regard éveillé, sensible et concerné par cet art des antipodes.

Article publié le 26 janvier, dans Art Libre - Libre Belgique

https://www.lalibre.be/culture

On en parle dans la presse : MU-inthecity - Les plus anciens témoignages de notre histoire

Merci au magazine d’art MU-inthecity pour ce bel article du journaliste Eric Valenne, à découvrir en entier et en ligne ici.

Les plus anciens témoignages de notre histoire

Les richesses de la culture aborigène d'Australie s’exposent à Bruxelles chez Aboriginal Signature en grandes peintures dans l’exposition Kuwari (the present) avec 25 œuvres réalisées par huit artistes Anangu du cœur du continent (7 femmes et un homme) issus de la communauté artistique de Mimili Maku (APY land).
Bertrand Estrangin, galeriste: « Le désert australien s‘exprime via son art aborigène qui nous confronte à l’un des plus anciens témoignages de notre propre histoire. Ce qui est frappant avec la présence de peuples très anciens et isolés sur ce continent depuis 65 à 80 mille ans, c’est qu’ils ont perpétué leur culture de génération en génération. Et les œuvres qui étaient représentées jadis sur le sol ou les écorces perdurent aujourd’hui notamment sous la forme de peintures. Avec ces œuvres, nous sommes connectés aux sources de l’humanité et confrontés à l’un des plus anciens témoignages de notre propre histoire…”.

On en parle dans la presse - L'Eventail - Art Aborigène, Les vigies du territoire

Un grand merci au prestigieux magazine L'Eventail pour leur article sur la galerie Aboriginal Signature, et notre exposition actuelle "Incandescence". En direct avec ces grands artistes des communautés des déserts Australiens.

A visiter à Bruxelles jusqu'au 13 décembre.
Découvrez l'article du magazine l'Eventail en ligne ici

Découvrez les œuvres disponibles de l'exposition Incandescence.
Pour visiter l'exposition et la galerie, vous pouvez inscrire ici.

On en parle dans la presse : La Libre Belgique

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Merci au quotidien la Libre Belgique et à son journaliste Raoul Buylepour ce bel article dans leur supplément Essentiels : “GRANDE EXPOSITION COLLECTIVE D’ART ABORIGÈNE DE TJALA ARTS (APY LAND)”.

“Issu d’une dynastie de parfumeurs et de grands amateurs d’art à Moscou, Bertrand Estrangin, directeur de la Galerie Aboriginal Signature, a été saisi par le virus familial : il sera collectionneur et se spécialisera
dans l’Art Aborigène d’Australie, sur le chemin des dernières peuplades nomades de la planète. À Bruxelles, sa galerie est devenue le lieu de référence pour découvrir ou pour approfondir ses connaissances à propos de cette culture millénaire et toute l'amplitude de ce mouvement artistique majeur.

Cette nouvelle exposition réunit 30 peintures, dont plusieurs oeuvres collaboratives magistrales, réalisées par les femmes de la communauté Aborigène Anangu d’Amata, au coeur d’un vaste territoire de 102.000 km² habité par moins de 2.500 habitants, dans le APY land.
Ces oeuvres représentent le leadership des femmes au sein de la communauté et le rôle central de la création artistique dans leur vie. « Lorsque les ancêtres ont peint notre Tjukurpa (Temps du Rêve) sur les grottes et sur leurs corps, c’était une célébration de notre culture, une façon d’identifier les personnes et les lieux, et une façon de continuer nos histoires », raconte l’artiste Tjungkara Ken. « Aujourd’hui, nous avons de nouveaux matériaux et de nouvelles méthodes, mais la célébration et l’engagement envers Tjukurpa et l’identité culturelle sont toujours les mêmes. » Faut-il préciser que ces artistes ont été plusieurs fois récompensés au Musée National de Darwin (NATSIAA Award) et ont été exposés à travers le monde, de New York au Musée des Beaux-Arts de Rennes actuellement en 2020”.

On en parle dans la presse : Les dames de Tjala étaient à Koekelberg !

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Les dames de Tjala étaient à Koekelberg ! Bel article du fidèle magazine d'art en ligne Mu-inthecity. Merci à sa rédactrice en chef, Muriel de Crayencour.

Dans cette période de confinement, l'exposition est en ligne jusque ce samedi 21 novembre, et quelques trésors sont encore disponibles.

Vous pouvez découvrir l’article en ligne ici.

N'hésitez pas à nous contacter au +32 475 55 08 54 ou info@aboriginalsignature.com.

On en parle dans la presse : La cartographie intérieure des grands anciens de Mangkaja

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Merci au journaliste Gilles Bechet de Mu-inthecity pour son bel article.

Aboriginal Signature, la galerie de Bertrand Estrangin dévoile les fascinantes œuvres d’une dizaine d’artistes du Kimberley australien. Un voyage intérieur qui a la vastitude du désert.

C’est une terre de ronds et de points sur la toile de la mémoire. Sur les terres sauvages et arides de Kimberley, situées dans la région septentrionale de l’Australie, vivent encore des populations aborigène fortement imprégnées de leurs traditions millénaires, sans pour autant tourner le dos à certains progrès technologiques de notre époque contemporaine. Ce flux continu entre le passé ancestral et le présent se marque également dans leur production artistique.

Une grande modernité

Pour sa nouvelle exposition, Bertrand Estrangin présente les œuvres d’une dizaine d’artistes couvés par le centre d’art Mangkaja de la petite bourgade de Fitzroy Crossing. Ce centre d’art, créé à la fin des années 1980, a la particularité d’aborder les supports les plus divers et surprenants comme la gravure sur métal ou sur bois, l’acrylique et la peinture sur perspex. Les artistes rassemblés à Bruxelles sont des grands anciens, nés entre 1932 et 1958. De leur longue pratique de la peinture, ils ont acquis un détachement et une liberté de style qui les délie de la tradition sans jamais vraiment l’abandonner. Comme toujours chez les peintres aborigène, les toiles ne représentent pas des jeux de formes et de couleurs abstraites mais des territoires et des personnes que les artistes ont intériorisés et projeté sur leur support. Des territoires dont ils sont souvent les gardiens, des étendues arides qu’ils connaissent si bien qu’ils pourraient les peindre les yeux fermés. Dans ces contrées à l’herbe rare, où l’élevage est la seule activité viable, la connaissance des points d’eau était un gage de survie. Pour le spectateur occidental, ces paysages ou personnages qui charpentent la composition restent une abstraction, même si apparaissent par moments de la végétation ou des animaux, voir même un point d’eau…”

Suite de l’article sur le Magazine d’art Mu-Inthecity.

On en parle dans la presse : La Libre Belgique et Martumili

Un grand merci à la Libre belgique pour ce bel article dans leur édition spécial BRAFA. “Leur vision esthétique va bien au-delà des perspectives et des formes, pour sublimer les lieux et leurs dimensions sacrées”…

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