PARIS-MATCH : Première galerie d'art Aborigène à Bruxelles.

Dans l'édition Belge de PARIS-MATCH : Première galerie d'art Aborigène à Bruxelles.

A l'occasion du salon d'art et d'antiquités EURANTICA à Bruxelles, l'édition spéciale de Paris Match faisait un focus sur notre galerie d'art Aborigène d'Australie.

Le VIF - L'EXPRESS : DÉCOUVERTES, RENCONTRES ET AMOUR DU BEAU

Le VIF

LE VIF - L'EXPRESS : DÉCOUVERTES, RENCONTRES ET AMOUR DU BEAU

Extrait... "... La relève est assurée...

... C'est un fait les antiquaires généralistes sont en voie de disparition. Cela dit, Eurantica reste attractif pour les jeunes marchands émergents. Ils sont en effet nombreux à se lancer dans le métier, soit en prenant le relais de la galerie familiale, soit en changeant de vie. Ces jeunes choisissent des "niches" avec un choix de tableaux ou d'objets pouvant s'intégrer dans l'intérieur moderne. L'exemple de Bertrand Estrangin est emblématique

Dans le magazine COLLECT, on parle de la galerie Aboriginal Signature

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Dans le magazine COLLECT n°452 du mois de mars 2015, dans la section TELEPHONE ROUGE, on parle de l'ouverture de la galerie Aboriginal Signature

"Jusqu’au 13 mars, se tient dans les espaces flambant neufs de la Galerie Aboriginal Signature, dirigée par Bertrand Estrangin, une exposition consacrée à la créativité millénaire des Aborigènes d’Australie. (www.aboriginalsignature.com, 101 rue Jules Besme)
L’objectif, à moyen terme, est d’y développer la connaissance de ce mouvement..

LA LIBRE : Papunya - Big Bang d'un mouvement d'art contemporain

Dans La LIBRE BELGIQUE - LIBRE CULTURE • 23/09/2015

"Anciennement les peintures aborigènes étaient réalisées dans le sable, et par­fois sur des écorces d'arbres ou sur des rochers. Ces interventions étaient avant; tout éphémères et leur sens secret. Au.début des années 70, les images abstrai­tes de ces "rêves" vont être réalisées sur des supports traditionnels, et de la: sorte devenir pérennes. Ces peintures vont aussi quitter le territoire d'origine et faire désormais partie du marché de l'art qui s'en est rapidement emparé.1 Fort heureusement, tout en évoluant, ces peintures qui sont l'objet d'expositions muséales dans le monde ont conservé leur spécificité. Cette pratique nouvelle a changé la vie des Aborigène et leur a permis de récupérer une partie de leurs terres.

Une exposition des œuvres des artistes contemporains les plus renommés du centre d'art de Papunya et de quelques autres se tient à la galerie Aboriginal Signature à Bruxelles. Dans ce cadre, le musicien virtuose multi-instrumentaliste Stephen Kent (photo) donnera un concert de didgeridoo. Une occasion. de voir et entendre une part de la culture des Aborigènes. (C.L) "

L'exposition sur Papunya : Big Bang d'un mouvement d'art contemporain se tient à la galerie Aboriginal Signature jusqu'au 7 novembre.

COLLECT magazine : l'Art Aborigène, pas que des petits points...

Dans le magazine COLLECT de l'été 2015 :
L'art aborigène : pas que des petits points !

Flambant neuve, la galerie de Bertrand Estrangin poursuit une mission unique en Belgique : assurer la promotion d’un art aborigène de qualité. L’espace réunit une sélection d’artistes issus de cinq centres d’art (coopératives artistiques gérées par les Aborigènes) disséminés dans le APY Land. « Chaque oeuvre, vibrante, véhicule sur les toiles la mémoire de ce peuple, issu de la plus ancienne culture continue à travers le monde. La transmission, à travers les générations, a introduit une codification de signes d’une civilisation sans écriture. Les symboles, accessibles aux initiés, confinent sous notre regard occidental à l’abstraction. On y perçoit cependant une profondeur, une puissance, à travers l’inventivité du geste des artistes, pour ne garder que l’essentiel, comme si le temps avait effacé les scories superficielles.» Un accrochage qui permet de mesurer la qualité et la diversité de cette production qui gagne définitivement à être connue.
Notre expo ‘coup de coeur’ ! (gg)

Lien vers le magazine COLLECT

LE SOIR : L’art aborigène atteint enfin Bruxelles

Le-soir

L’art aborigène atteint enfin Bruxelles

Extrait du Journal LE SOIR, Mis en ligne mercredi 11 février 2015, 13h19

"Le destin est parfois bien étrange. Installé à Bruxelles depuis douze ans, Bertrand Estrangin, formé à l’Ecole supérieures de gestion à Paris, a fait l’essentiel de sa carrière chez Solvay. Après avoir été responsable de la communication, il s’y épanouit en tant que responsable innovation. Un boulot consistant à faire naître et aboutir des idées innovantes au sein de l’entreprise. Cela tombe bien, des idées, il en a à revendre. Une en particulier qu’il va enfin pouvoir concrétiser en quittant Solvay au début de l’année 2014.

Depuis quinze ans en effet, cet homme discret se passionne à la fois pour le nomadisme (il voyage énormément en Algérie, au Niger, en Libye, en Irak, au Yémen…) et l’art aborigène qu’il a découvert au Musée d’art aborigène d’Utrecht (le seul du genre en Europe). Un véritable coup de foudre qui va faire de lui un collectionneur passionné.

Suite à sa visite à Utrecht, il achète sa première peinture. Le début d’une longue série qui le voit aujourd’hui possesseur de 120 toiles dont certaines sont régulièrement prêtées pour des expositions de haut niveau à l’étranger. Mais à force de collectionner, Bernard Estrangin se passionne de plus en plus pour cette culture, cet art atypique que beaucoup d’Occidentaux ont du mal à comprendre.

Des galeries s’ouvrent, des expositions d’envergure sont mises sur pied. Mais à Bruxelles, rien ou presque. Bertrand Estrangin décide alors de passer de l’autre côté de la barrière. Le collectionneur ouvre sa propre galerie à Koekelberg..."

La suite ici

ART EXPO : L'Australie en un saut chez vous

ART EXPO : L'Australie en un saut chez vous

Bruxelles devient de plus en plus un haut lieu d'art pour les galeries. Une petite dernière vient d'arriver avec une thématique inédite : l'art Aborigène d'Australie. Bertrand Estrangin, collectionneur depuis 15 ans est à la tête de cette galerie qui a ouvert ses portes fin janvier dans le quartier de Koekelberg à Bruxelles. Il est en contact direct avec les centres d’art australiens et par sa galerie, il souhaite partager sa passion pour cet art si méconnu dans nos frontières