On en parle dans la presse : MU in the City "Au cœur de Papunya Tula"

On en parle dans la presse : MU in the City "Au cœur de Papunya Tula"

Une nouvelle fois, la galerie Aboriginal Signature présente une exposition pleine de surprises faisant découvrir l’art des différentes régions de l’outback australien. Les artistes de Papunya Tula sont les premiers à peindre sur toile dès 1969 les formes qu’ils tracèrent pendant des milliers d’années sur le sable rouge du désert.

On en parle dans la presse : Point Culture

On en parle dans la presse : Point Culture

À un jet de pierre de la Basilique de Koekelberg, dans une jolie bâtisse – ancienne imprimerie - de la rue Jules Besme (1081) discrètement signalée à l’extérieur par une simple enseigne, «se niche », depuis mi-2014, l’Aboriginal Signature, unique galerie de Belgique exclusivement dédiée aux arts des peuples aborigènes d’Australie….

On en parle dans la presse : Mu-inthecity - Les artistes Martumili résilients

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Merci à Muriel de Crayencour, rédactrice en chef de MU inthecity pour son bel article sur notre dernière exposition.

"La Canning Stock road fut percée au début du XXe siècle au cœur de l’Australie pour acheminer les troupeaux de bœufs de Perth à Darwin. Il s’agissait plus d’une piste chaotique traversant des milliers de dunes de sable qu’une route goudronnée. Pour identifier les trous d’eau et leur aménagement en puits, les Australiens entrèrent en conflit avec les aborigènes de Martumili, gardiens traditionnels de trois immenses déserts du centre de l’Australie : Gibson, Great Sandy et Tanami desert. Constituée de plus de 50 puits, la Canning Stock Road a ainsi perforé leur terre sacrée..."

Lire cet article complet sur les artistes Aborigènes Martu, ici sur Mu inthecity.

Libre Belgique : Art Aborigène des artistes Martu, Princes de trois déserts éloignés

Libre Belgique : Art Aborigène des artistes Martu, Princes de trois déserts éloignés

Dans sa démarche de nous faire connaître la diversité des peintures Aborigènes, la galerie Aboriginal Signature Estrangin nous invite à découvrir sa nouvelle exposition "Voice of the custodians of the Homeland". 27 œuvres (rares) d'artistes de Martumili. Tels des princes ils avaient autorité sur un territoire immense... quatre fois plus grand que la Belgique !

On en parle dans la presse - Terre de Tjala

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Merci à Muriel de Crayencourt, rédactrice en chef de MU inthecity pour son bel article sur notre dernière exposition.

Une fois encore, voici réunies des toiles de qualité muséale chez Aboriginal Signature. Bertrand Estrangin part chaque été explorer les confins des territoires aborigènes d’Australie pour en ramener des œuvres remarquables et étonnantes. Voici des artistes de la région de Tjala.

Rassemblés dans le Tjala Art centre, ces artistes aborigènes ont été finalistes de nombreux prix en 2017 comme l’Archibald Prize du meilleur portrait, le Wynne Prize pour le meilleur paysage au Musée de Sydney (Art Gallery of NSW), entre autres...

Lire la suite ici.

Magazine COLLECT : Celebrating the Earth

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Merci au Magazine COLLECT et à Gwennaëlle Gribaumont pour leur article dans leur rubrique "UP TO ART GALERIES", page 20, dont je reprends ici un extrait.

"... Représentante officielle en Europe des plus grands centres d’art d’Australie, la Galerie Aboriginal Signature Estrangin réunit une sélection de 25 œuvres en provenance de Tjala. Cette coopérative réputée concentre plusieurs générations d’artistes qui se transmettent leurs savoirs millénaires. Cette transmission de flambeau entre anciens et personnalités émergentes est essentielle, souvent fragile, et contribue à perpétuer les connaissances dans les communautés. Les pièces présentées ont été réalisées par une douzaine d’artistes âgés de 40 à 90 ans. Chacun développe son itinéraire spécifique et son style inventif en fonction de son attachement géographique et des nuances propres à ses influences territoriales. Une exposition dont la réalisation a pris des allures de sacerdoce : le galeriste Bertrand Estrangin a en effet parcouru 4 800 kilomètres sur les pistes rouges du désert pour sélectionner artistes et œuvres, dont il garantit à 100 % la provenance éthique..." (gg)

Plus d'informaion sur le magazine COLLECT ici.

On en parle dans la presse : Mimili Maku à Bruxelles, sur MU-inthecity

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Merci à Muriel de Crayencourt, rédactrice en chef de MU inthecity pour son bel article sur notre exposition en cours.

"Bertrand Estrangin est du genre à parcourir plus de 4800 km pour préparer une exposition ! C’est ce qu’il a fait durant les étés 2016 et 2017 pour sélectionner les œuvres qu’il présente aujourd’hui dans sa galerie bruxelloise. Les artistes aborigènes de Mimili Maku habite un territoire de 102 000 km2 habité par moins de 2500 indigènes. Isolés du monde, leurs œuvres magistrales sont récompensées chaque année au Musée national de Darwin (NATSIAA Award), et tout récemment dans le cadre du Wynne Prize (art contemporain) au musée de Sydney en 2017.

Les œuvres de ces artistes aborigènes sont peu connues en Europe et Aboriginal Signature, la galerie de Bertrand Estrangin, fait à Bruxelles un important travail de présentation et de médiation. Elle vient d’ailleurs de recevoir une visite de Caroline Millar, ambassadeur d’Australie en Belgique..."

La suite de l'article ici sur MU-inthecity.

La Libre Belgique "Exceptionnel : actualité de l'art des Aborigènes d'Australie"

Un grand merci à Claude Lorent et à la Libre Belgique pour ce bel article et cette analyse pertinente sur la place de l'art Aborigène d'Australie dans l'art contemporain !

Et pour l'attention portée aux œuvres exceptionnelles présentées à la galerie dans le cadre de l'exposition "Keeping Law and Culture Strong", en partenariat avec les artistes de Mimili Maku.

"Une très grande partie de l’art contemporain est formaté aux conceptions occidentales."

"Il existe néanmoins une exception : l’art actuel des Aborigènes. S’il est reconnu par des spécialistes dans le monde, s’il est intégré progressi­vement dans les grandes collections muséales principa­lement en Australie, notamment à Sydney et au musée national de Darwin (Nord), également au Met ou en France, si des Prix prestigieux lui sont attribués, il souf­fre encore injustement d’une connotation de classifica­tion réductrice trop ethnique ou ancestrale.

Sa spécifi­cité et ses origines des plus lointaines se dressent comme une barrière empêchant son intégration de fait dans l’art contemporain où, par exemple, un certain art chinois, d’imitation et d’adaptation, s’est engouffré comme un bolide ! Or les artistes aborigènes sont nos contemporains et développent un art pictural avec les moyens et les méthodes d’aujourd’hui. Un art certes hé­rité par transmission, mais qui évolue avec son temps ! Un art qui relie le présent au passé".

Découvrir l'article en entier sur le site web de la Libre Belgique ici.

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